Résumé :
Cette contribution porte sur une comparaison entre deux traductions de la Divine Comédie : celle d'André Pézard et celle de Jacqueline Risset. L'intérêt de cette comparaison tient au croisement des projets poétiques des deux traducteurs. Alors qu'André Pézard souhaite traduire pour permettre au lecteur de ressentir ce qu'un lecteur italien moderne éprouverait en lisant la Divine Comédie, Jacqueline Risset veut moderniser l'original. L'effet obtenu par les deux traductions croise les deux projets.
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