Au lendemain de la Terreur, l’idée apparaît avec La Harpe, Germaine de Staël et Prosper de Barante que la production littéraire de la Révolution française est incapable de survivre au mouvement historique qui l’a vu naître : la littérature de la décennie révolutionnaire périrait pour cause de politique ! C’est là sans doute son péché capital, puisque les historiens de la littérature la discréditant à tout jamais l’ont négligée au profit des oeuvres magistrales du Romantisme. Ce que l’on a...
Nbre ou N° pages :
544 p.
Type de production :
Livre